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L'assaut: le GIGN au coeur de l'action

Résumé
54 heures d'angoisse, 173 otages et 45 membres du GIGN, prêts à tout pour les sauver. Un exploit historique et une aventure humaine jamais révélés. 24 décembre 1994. Roland Môntins, chef de groupe au GIGN, s'apprête à réveillonner en famille. Au même moment, à Alger, quatre terroristes surarmés s'emparent de l'avion d'Air France pour Paris. À bord, plus de 200 passagers, désormais otages. Très vite, trois d'entre eux sont exécutés. La froide détermination du commando terrifie toute la France. Dans la cabine, les heures puis les jours passent, infernaux, passagers et équipage attendent la mort... Le 26 décembre, l'avion se pose à l'aéroport de Marignane. 17h12 : le GIGN donne l'assaut. Roland, l'un des premiers à entrer dans l'avion, progresse dans les allées face aux tirs du commando. Lui et neuf autres gendarmes sont blessés. La détermination des hommes du GIGN ne faiblit pas : ils n'ont que quelques secondes pour neutraliser les terroristes, sauver les otages et évacuer l'avion piégé par une bombe. Le chef de groupe du GIGN, Roland Môntins et l'écrivain Jean-Michel Caradec'h racontent de l'intérieur, presque seconde par seconde, deux jours de tension et de drame : dans l'avion, l'organisation des terroristes et la terreur des otages ; à Alger et Paris, les âpres négociations politiques et, au coeur du GIGN, le montage de l'opération pour seize minutes de combat meurtrier. Cet assaut lancé sur un avion de ligne, sans qu'aucun otage ne soit blessé, reste unique dans l'histoire de la piraterie aérienne. Quand la réalité dépasse la fiction, cela donne un livre d'aventure et d'action exceptionnel.

Pas disponible en CD.

Genre littéraire: Histoire/géographie
Durée: 8h. 35min.
Édition: Paris, OH ! éditions, 2010
Numéro du livre: 25462
ISBN: 9782915056761
CDU: 340

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Résumé:A trop admirer aujourd'hui Venise pour son site, pour ses palais et ses églises, pour ses peintres, ses musiciens et ses écrivains, on risque de négliger l'extraordinaire puissance économique, politique et géopolitique que la première et la plus belle des villes marchandes du monde a très longtemps représentée. Si l'on situe au XIVe siècle l'apogée de la thalassocratie qu'elle a créée, la Méditerranée a dû compter avec elle dès le XIIe siècle jusqu'à l'approche de la chute finale à la fin du XVIIIe siècle : l'Adriatique et la mer Ionienne évidemment, les Balkans, le Levant, le Pont (mer Noire), et même la Méditerranée occidentale, une bonne partie des grandes îles (Chypre, Crète), mais aussi l'Europe alpine et la péninsule italienne en totalité ! Sa fortune et sa gloire, cette ville incomparable les doit bien sûr au commerce, ici évoqué avec une précision et une force d'évocation exceptionnelles, et sous ses aspects innombrables de la construction des bateaux au financement des voyages, des marchandises transportées (épices, sel, coton, sucre...) aux contrats de travail des matelots et des rameurs, des tarifs douaniers, de la fiscalité et du crédit aux questions monétaires, de la formation et de la perpétuation d'une noblesse marchande aux compétitions politiques et aux entreprises guerrières, c'est la mer qui fait la vie de la Sérénissime.
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Lu par :
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Genre littéraire : Histoire/géographie
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Lu par : Daniel Schreiber
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